[CONVENTION] - Les Interrupted Tricks et leur notation.

[Skatox]

je trouve pas ça judicieux de donner des exemples impossibles étant donné que c'est ce qui est censé aider à comprendre la notation.

Le lien qui est donné ici ne correspond pas à la bonne vidéo

2. Un trick incomplet suivi par la fin d'un autre trick, qui est donc lui aussi incomplet.
Dans cet exemple, je fais la première partie d'un shadow still 12,
et je l'interrompt avec la seconde partie d'un Korean Backaround.

Encore une erreur de trad, c'est corrigé, merci.

Par rapport aux exemples, si justement c'est pertinent...on ne se concentre pas sur la possibilité ou non du combo, le but n'est pas que tu comprennes le combo d'exemple, mais que tu comprennes ce que signifie la notation. En gros, cet exemple t'apprend à "lire", pour apprendre à écrire, il faut d'abord avoir l'idée d'un combo particulier, puis le retranscrire, c'est une autre histoire...Pour être plus clair, en gros, on aurait pu remplacer le nom de tous les tricks par des lettres A, B, X, etc...comme c'est fait ailleurs...De la notation "formelle" qui n'explicite pas les tricks, et met juste en valeur ce sur quoi on se focalise, c'est^à-dire les symboles d'enchainement...

[zriL]

Dans ce cas, autant mettre A, B ou C à la place des tricks. Pour moi, un exemple c'est concret, c'est donc possible.

Les exemples sont là pour illustrer la notation, si on ne peut pas les imaginer, ça n'aidera pas à comprendre la notation.

Moi j'ai compris, donc c'est pas pour moi. Après si tout le monde a compris, tant mieux. Mais vu que le but est de répendre cette notation, je pense qu'il faut faire en sorte que ça soit le plus compréhensible possible.

[Zombo]

ok utilisez cette regle:

Si tu vois un ~ en avant du trick, ya pa de debut. Si tu vois un ~ en arriere du trick, ya pa de fin.

Si tu vois pas de ~ en avan du trick, ya un debut. Si tu vois pas de ~ en arriere du tricks, ya une fin.

C pa plus complique que ca...

[Skatox]

Dans ce cas, autant mettre A, B ou C à la place des tricks. Pour moi, un exemple c'est concret, c'est donc possible.

Les exemples sont là pour illustrer la notation, si on ne peut pas les imaginer, ça n'aidera pas à comprendre la notation.

Moi j'ai compris, donc c'est pas pour moi. Après si tout le monde a compris, tant mieux. Mais vu que le but est de répendre cette notation, je pense qu'il faut faire en sorte que ça soit le plus compréhensible possible.

T'es coriace toi dis donc ^^. Certes, ces exemples n'aident pas à l'illustration de la notation, c'est pas un exemple de ce qu'il faut écrire, mais de ce qu'ol faut lire...ça n'illustre rien, mais ce n'est pas le but...Bon c'est sûr c'est un peu ambigu, mais je ne pense pas que ça sera un gros problème de compréhension pour les autres non plus...

[zriL]

comme tu veux

je veux aider c'est tout.

[Zombo]

zriL, tu va remarquer que a fur et a mesure qu'on progresse dans nos recherches du PS, de plus en plus il va y avoir des sujets de plus en plus abstraits qui ne touchent meme plus a des exemples concrets.

Par exemple, mon article sur le serialisme propose une solution interessante pour creer un combo varie en ne regardant seulement que comment le stylo progresse autour de la main. Les tricks utilises ne sont pas importants.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_sérielle

En réaction aux "diktats" de la tonalité, ce mouvement a donc conçu une nouvelle théorie compositionnelle susceptible de supplanter l'harmonie tonale, qui prévalait depuis le XVIIIe siècle. La musique sérielle n'est qu'un cas particulier du dodécaphonisme. Le dodécaphonisme consiste à utiliser les 12 sons chromatiques, le plus souvent selon un principe d'énumération et sans répétition. La musique sérielle n'apparaît réellement qu'avec la Klavierstück V de l'opus 23 de Schönberg en 1923 ; il s'agit ici de n'utiliser qu'une seule et unique suite de 12 sons (la série) et de travailler ses développements selon les 4 formes énumérées ci-dessous.

- dans sa forme originelle (Grundgestalt) appelée aussi forme droite

- en récurrence (la série est prise par la fin) appelée aussi forme rétrograde

- en renversement (tous les intervalles sont imités en mouvement contraire, c’est-à-dire qu'un intervalle descendant devient ascendant et vice versa) appelée aussi forme miroir

- en récurrence du renversement appelée aussi forme miroir du rétrograde

Maintenant imagine que les sons, c'est les "slots" de la main (12, 23, 34, 13, 14, 24, t1, t2, t3, t4)

[zriL]

j'ai rien compris ^^

[motoculteur]

zriL, tu va remarquer que a fur et a mesure qu'on progresse dans nos recherches du PS, de plus en plus il va y avoir des sujets de plus en plus abstraits qui ne touchent meme plus a des exemples concrets.

Par exemple, mon article sur le serialisme propose une solution interessante pour creer un combo varie en ne regardant seulement que comment le stylo progresse autour de la main. Les tricks utilises ne sont pas importants.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_sérielle

En réaction aux "diktats" de la tonalité, ce mouvement a donc débileçu une nouvelle théorie compositionnelle susceptible de supplanter l'harmonie tonale, qui prévalait depuis le XVIIIe siècle. La musique sérielle n'est qu'un cas particulier du dodécaphonisme. Le dodécaphonisme consiste à utiliser les 12 sons chromatiques, le plus souvent selon un principe d'énumération et sans répétition. La musique sérielle n'apparaît réellement qu'avec la Klavierstück V de l'opus 23 de Schönberg en 1923 ; il s'agit ici de n'utiliser qu'une seule et unique suite de 12 sons (la série) et de travailler ses développements selon les 4 formes énumérées ci-dessous.

- dans sa forme originelle (Grundgestalt) appelée aussi forme droite

- en récurrence (la série est prise par la fin) appelée aussi forme rétrograde

- en renversement (tous les intervalles sont imités en mouvement contraire, c’est-à-dire qu'un intervalle descendant devient ascendant et vice versa) appelée aussi forme miroir

- en récurrence du renversement appelée aussi forme miroir du rétrograde

Maintenant imagine que les sons, c'est les "slots" de la main (12, 23, 34, 13, 14, 24, t1, t2, t3, t4)

je vois la chose et c'est assez interréssant pour nombres d'aspects, mais je penses aps que ça sois applicable au penspinning...enfin c'est applicable mais différement...et la musique sérielle ça représente pas vraiment l'idée d'adaptation que tu as de celle ci au penspinning...s'en inspirer

[Skatox]

zriL, tu va remarquer que a fur et a mesure qu'on progresse dans nos recherches du PS, de plus en plus il va y avoir des sujets de plus en plus abstraits qui ne touchent meme plus a des exemples concrets.

Par exemple, mon article sur le serialisme propose une solution interessante pour creer un combo varie en ne regardant seulement que comment le stylo progresse autour de la main. Les tricks utilises ne sont pas importants.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_sérielle

En réaction aux "diktats" de la tonalité, ce mouvement a donc débileçu une nouvelle théorie compositionnelle susceptible de supplanter l'harmonie tonale, qui prévalait depuis le XVIIIe siècle. La musique sérielle n'est qu'un cas particulier du dodécaphonisme. Le dodécaphonisme consiste à utiliser les 12 sons chromatiques, le plus souvent selon un principe d'énumération et sans répétition. La musique sérielle n'apparaît réellement qu'avec la Klavierstück V de l'opus 23 de Schönberg en 1923 ; il s'agit ici de n'utiliser qu'une seule et unique suite de 12 sons (la série) et de travailler ses développements selon les 4 formes énumérées ci-dessous.

- dans sa forme originelle (Grundgestalt) appelée aussi forme droite

- en récurrence (la série est prise par la fin) appelée aussi forme rétrograde

- en renversement (tous les intervalles sont imités en mouvement contraire, c’est-à-dire qu'un intervalle descendant devient ascendant et vice versa) appelée aussi forme miroir

- en récurrence du renversement appelée aussi forme miroir du rétrograde

Maintenant imagine que les sons, c'est les "slots" de la main (12, 23, 34, 13, 14, 24, t1, t2, t3, t4)

je vois la chose et c'est assez interréssant pour nombres d'aspects, mais je penses aps que ça sois applicable au penspinning...enfin c'est applicable mais différement...et la musique sérielle ça représente pas vraiment l'idée d'adaptation que tu as de celle ci au penspinning...s'en inspirer

L'article complet montre clairement qu'on peut utiliser le serialism en penspinning, ici on n'a qu'un petit extrait...Avec cet article, je crois que l'on a atteint un niveau d'abstraction record, mais on peut faire encore "mieux", c'est certain. Cela fait partie de la tâche du NC et du Research Department.

[Phoenyx]

Ce nouveau sysème est iterressant, à la fois plus précis et assez pratique une fois assimilé.

Good work !